Il fut, il n’est plus !
Le Dodo a disparu, symbole d’une culture jetable à Melun. Une com’ coûteuse, éphémère et méprisante, loin d’une vraie politique culturelle durable et accessible à tous.
Le Dodo a disparu, symbole d’une culture jetable à Melun. Une com’ coûteuse, éphémère et méprisante, loin d’une vraie politique culturelle durable et accessible à tous.
Sous couvert du Tzen2, la majorité macroniste impose à Melun une asphyxie jusqu’en 2030 : aucun plan de circulation, pas de nouveau pont, pas de parkings relais, 400 places supprimées. Résultat : centre saturé, commerces fragilisés et dettes records.
Après 5 ans de déni, le tribunal administratif donne raison à Catherine Asdrubal, réaffirmant son droit d’expression bafoué par une communication municipale unilatérale et électoraliste. Malgré la justice, la majorité persiste à étouffer la pluralité sur ses supports.
Melun souffre d’un sous-effectif en policiers municipaux. Pour relever la ville, nous recruterons 22 agents supplémentaires, pour atteindre 65 comme à Meaux, référence en sécurité. Objectif : plus de tranquillité dans l’espace public et un vrai tournant pour la sécurité des Melunais.
Le maire de Melun a refusé de voter un vœu en soutien à Boualem Sansal, écrivain emprisonné en Algérie pour délit d’opinion. Nous dénonçons cette lâcheté et demandons qu’une rue de Melun porte son nom, comme cela fut fait pour Masha Amini, au nom des libertés fondamentales.
À l’approche des élections, l’arrêté municipal interdisant le transit des poids lourds à Melun semble plus électoraliste qu’efficace : contrôle incertain, absence de concertation et flou juridique. Une annonce sans garantie de résultats concrets.
Le Maire de Melun admet 15 ans de retard par rapport à Meaux en matière de sécurité, fruit de ses propres choix financiers passés. Pendant que l’insécurité explose – rixes, agressions, vitrines fracassées – la majorité préfère les dépenses superflues aux besoins essentiels. Les caméras ne remplacent pas les effectifs : sans policiers sur le terrain, la situation ne peut que se dégrader. Nous demandons depuis 5 ans un renforcement massif des moyens humains. La sécurité est une priorité absolue. Assez de communication, place à l’action pour protéger les Melunaises et les Melunais.
Le groupe Relevons Melun dénonce le coût du futur cinéma municipal, passé de 5,5 à 12,6 millions d’euros. Il critique des choix architecturaux jugés inutiles – rooftop, baie vitrée – qui alourdissent la facture sans répondre aux priorités locales. Cet argent aurait dû être investi dans des besoins essentiels comme la rénovation des écoles ou la sécurité. Le projet illustre une gestion budgétaire déconnectée des réalités des Melunais, privilégiant l’image à l’intérêt général dans un contexte de finances locales très tendues.
Relevons Melun dénonce la désertification médicale à Melun : délais excessifs pour consulter, manque de spécialistes, et saturation de l’hôpital. Il pointe l’inaction municipale et propose la création d’une maison de santé pluridisciplinaire pour améliorer l’accès aux soins et redynamiser le centre-ville.
Le Conseil Municipal du 29 janvier 2025 a abordé la création d’une crèche à l’hôpital en 2027, confiée à un opérateur privé pour des raisons budgétaires. Si l’objectif est d’offrir plus de places, la privatisation soulève de nombreux dangers : la recherche du profit pourrait primer sur le bien-être des enfants, menant à des conditions de garde moins qualitatives, des structures surchargées et des conditions de travail précaires. Cette dérive pourrait affecter l’épanouissement des tout-petits, transformant la garde d’enfants en une affaire commerciale. Il est crucial que la gestion des crèches reste publique et garante de la qualité pour les familles.
Le cabinet d’études nous garantit, rubis sur l’ongle, malgré une compensation du nombre de places très imparfaite (même avec 3 niveaux sous Lebarbier -on en reparlera plus bas- il restera encore 250 places supprimées non compensées), que son plan va marcher à merveille et la rotation en hypercentre sera rétablie à toute période de l’année et toute heure de la journée……Si, et seulement si le nombre de contractuels (ASVP) est doublé (actuellement 10) et qu’un véhicule LAPI (aussi appelé « sulfateuse à PV ») est utilisé !
Christopher Domba est donc l’homme qui « a voulu démissionner » et Monsieur le Maire celui qui lui « a demandé de démissionner » avec un signalement au procureur comme cadeau de départ, le tout pour des soupçons de corruption que l’élu conteste