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Kadir Mebarek, le porteur de gamelles

Kadir Mebarek, opportuniste politique, navigue ntre partis depuis 2002. Promettant des postes sans projet clair, son bilan à Melun est marqué par l’insécurité, l’endettement et le déclin. Son « en même temps » n’a produit qu’une ville appauvrie et désorientée.

Des seniors de plus en plus inquiets !

Présents au repas des seniors de Melun, nous avons constaté l’hypocrisie des élus macronistes venus chercher des voix. Derrière les sourires, les aînés expriment leurs inquiétudes : insécurité, commerces en déclin, accès aux soins. Notre groupe propose une vraie alternative.

La ville de Melun se dote d’un bel équipement !

Melun inaugure un cinéma moderne prévu à 5,5 M€, livré à 12,6 M€. Un bel équipement financé en grande partie par des partenaires publics, pendant que la Ville s’endette. Malgré ses qualités, ce projet budgétairement dérapé enterre d’autres promesses culturelles locales.

Il fut, il n’est plus !

Le Dodo a disparu, symbole d’une culture jetable à Melun. Une com’ coûteuse, éphémère et méprisante, loin d’une vraie politique culturelle durable et accessible à tous.

Et tout ça pour quoi ? Pour faire passer un bus …

Sous couvert du Tzen2, la majorité macroniste impose à Melun une asphyxie jusqu’en 2030 : aucun plan de circulation, pas de nouveau pont, pas de parkings relais, 400 places supprimées. Résultat : centre saturé, commerces fragilisés et dettes records.

Maire influenceur mais pas démocrate ?

Après 5 ans de déni, le tribunal administratif donne raison à Catherine Asdrubal, réaffirmant son droit d’expression bafoué par une communication municipale unilatérale et électoraliste. Malgré la justice, la majorité persiste à étouffer la pluralité sur ses supports.

Engagement 2026 : 65 policiers municipaux armés

Melun souffre d’un sous-effectif en policiers municipaux. Pour relever la ville, nous recruterons 22 agents supplémentaires, pour atteindre 65 comme à Meaux, référence en sécurité. Objectif : plus de tranquillité dans l’espace public et un vrai tournant pour la sécurité des Melunais.

Lettre ouverte à Monsieur le Maire Kadir Mebarek

Le maire de Melun a refusé de voter un vœu en soutien à Boualem Sansal, écrivain emprisonné en Algérie pour délit d’opinion. Nous dénonçons cette lâcheté et demandons qu’une rue de Melun porte son nom, comme cela fut fait pour Masha Amini, au nom des libertés fondamentales.

Poids Lourds : Un arrêté qui semble avoir du sens, mais…

À l’approche des élections, l’arrêté municipal interdisant le transit des poids lourds à Melun semble plus électoraliste qu’efficace : contrôle incertain, absence de concertation et flou juridique. Une annonce sans garantie de résultats concrets.

Sécurité, le Maire Kadir Mebarek admet ses 15 ans de retard !

Le Maire de Melun admet 15 ans de retard par rapport à Meaux en matière de sécurité, fruit de ses propres choix financiers passés. Pendant que l’insécurité explose – rixes, agressions, vitrines fracassées – la majorité préfère les dépenses superflues aux besoins essentiels. Les caméras ne remplacent pas les effectifs : sans policiers sur le terrain, la situation ne peut que se dégrader. Nous demandons depuis 5 ans un renforcement massif des moyens humains. La sécurité est une priorité absolue. Assez de communication, place à l’action pour protéger les Melunaises et les Melunais.

Cinéma : Encore de l’argent jeté par-dessus les toits !

Le groupe Relevons Melun dénonce le coût du futur cinéma municipal, passé de 5,5 à 12,6 millions d’euros. Il critique des choix architecturaux jugés inutiles – rooftop, baie vitrée – qui alourdissent la facture sans répondre aux priorités locales. Cet argent aurait dû être investi dans des besoins essentiels comme la rénovation des écoles ou la sécurité. Le projet illustre une gestion budgétaire déconnectée des réalités des Melunais, privilégiant l’image à l’intérêt général dans un contexte de finances locales très tendues.

Melun : un désert au cœur d’une préfecture

Relevons Melun dénonce la désertification médicale à Melun : délais excessifs pour consulter, manque de spécialistes, et saturation de l’hôpital. Il pointe l’inaction municipale et propose la création d’une maison de santé pluridisciplinaire pour améliorer l’accès aux soins et redynamiser le centre-ville.